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ACTION - DL

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Conflit entre la Russie et l'Ukraine : 

neutralité des pays tiers pour la paix dans le monde !

 

Dans ce conflit armé, qui concerne également tout le Peuple belge, nous exigeons la neutralité de la Belgique afin de favoriser la paix dans le monde et plus particulièrement en Europe. 

Contrairement à la position officielle des mandataires politiques belges, nous ne désirons pas que notre pays, la Belgique, soit la cible d'une éventuelle attaque militaire sur son territoire en raison du siège de l'Otan et des Institutions européennes situées à Bruxelles et qui, de surcroît, est également la capitale des Etats membres de l'Europe. 

 

Prise de position des politiciens belges à cet égard : une incitation au maintien du conflit armé avec un risque de déclencher une guerre mondiale (économique et/ou militaire)

 

Dans le cadre de ce conflit, les politiciens belges ont pris part à ce litige par leur prise de position en ce, matérialisé par les faits suivants :

 

  • livraison de 2000 mitrailleuses et munitions, casques et autres matériels militaires à l'Etat ukrainien;

  • interdiction aux avions russes de survoler l'espace aérien au sein de l'Union européenne; 

  • position favorable des Etats européens quant à l'adhésion de l'Ukraine  à l'Union européenne; 

  • envoi de 300 soldats belges sur le territoire roumain. 

 

En agissant de la sorte, les politiciens belges mettent à mal l'économie belge car leur prise de position dans ce conflit à l'échelle européenne implique des conséquences inéluctables: la hausse des prix de l'énergie (gaz, électricité et pétrole), l'augmentation du prix  des matières premières ainsi que des produits alimentaires. 

 

Nous exigeons la neutralité des pays tiers au conflit armé entre la Russie et l'Ukraine pour la paix dans le monde. 

Non à l'inflation excessive.

Nous ne voulons pas de la Troisième Guerre mondiale.   

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le formulaire 

 

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De plus, cette attitude fait courir au peuple belge un risque démesuré de menaces militaires alors que l'armée belge ne dispose pas d'arsenaux militaires pour faire face à un éventuel risque de bombardements. 

En effet, le siège de l'OTAN se trouvant à  Bruxelles, plus précisément à Haren, 

il va sans dire qu'en cas de bombardements en Europe, la Belgique est la cible potentielle n°1. 

 

Les politiciens belges doivent favoriser la paix dans ce conflit et, à ce titre, il est impératif qu'ils prennent une position neutre dans ce conflit armé. 

Il y a lieu de favoriser des négociations par l'entremise notamment de médiateurs comme la France et/ou l'OSCE pour qu'un compromis puisse intervenir dans le respect mutuel de chacune des parties au conflit. 

 

Or, le Président du Conseil européen, Charles Michel, considère que les sanctions financières à l'égard de la Russie sont, dit-il, une question de convictions, de principes par rapport à l'intervention militaire russe en Ukraine sans tenir compte de l'impact économique à long terme que ces sanctions financières peuvent avoir sur l'économie en Europe et plus particulièrement en Belgique. 

 

Pour le reste, quant à la situation juridique sur le plan international dans le cadre de ce conflit armé entre la Russie et l'Ukraine, il est essentiel de prendre en considération les conventions internationales contractées dans le passé pour se positionner juridiquement dont notamment :

 

  • le traité  d'amitié entre la Russie et l'Ukraine  

 

Signé le 31 mai 1997, celui-ci prévoit notamment le principe de partenariat stratégique, la reconnaissance de l'inviolabilité des frontières, le respect de l'intégrité territoriale et l'engagement mutuel de ne pas utiliser son territoire pour éviter une atteinte à la sécurité de l'autre.

 

A cet égard,  le gouvernement ukrainien,  participant à des discussions en vue de son adhésion à l'Europe et à l'Otan, viole ainsi ce traité d'amitié.  

Et ce faisant, il autoriserait  l'armée de l'Otan à installer sa base militaire sur le sol Ukrainien en portant atteinte, ipso facto, à la sécurité militaire de la Russie.

 

  •  l'accord  d'Helsinki en 1975 et la mission de l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe - Acteur essentiel de la sécurité paneuropéenne)

 

Cet accord comporte 10 principes devant être respectés par les Etats parties dont l'Ukraine, l'un des 10 principes est l'exécution de bonne foi des obligations assumées conformément au droit international: dans le cas présent, l'État ukrainien ne respecte pas le traité d'amitié visé plus haut au niveau de la sécurité militaire russe. 

 

  • les accords de Minsk (2014) et Minsk 2 (2015) 

 

En janvier 2022, Oleksiy Danilov, secrétaire du Conseil de sécurité nationale et de défense de l'Ukraine, affirme que "le respect des accords de Minsk signifie la destruction du pays". 

 

Pour rappel, le protocole de Minsk comporte douze points dont deux non respectés par  l'Ukraine :

  • organiser une décentralisation des pouvoirs, par la mise en application d'une loi ukrainienne (loi sur le statut particulier), accordant de manière temporaire l'autonomie locale dans les  zones territoriales de Donetsk et de Lougansk ;

  • démilitariser la zone de conflit, en retirant du territoire ukrainien le matériel militaire, les forces armées et les combattants étrangers ;

 

Or, rien n'avait été fait par l'Ukraine pour donner l'autonomie convenue par les accords de Minsk aux  zones territoriales visées par les accords, soit Donetsk et  Lougansk et ce, par le biais d'une loi ukrainienne. 

La Russie a mis en œuvre les accords en reconnaissant officiellement les républiques populaires autoproclamées de Lougansk et de Donetsk le 21 février 2022. 

 

Nous exigeons de la part des politiciens belges une neutralité dans ce conflit entre la Russie et l'Ukraine et que le Premier Ministre fasse une communication officielle à cet égard. 

 

Nous organiserons une manifestation pour la PAIX et la NEUTRALITÉ de la Belgique dès l'obtention de 100 000 signatures. 

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