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                    ELECTIONS EUROPEENNES 2024

              "Quel avenir face à l'Europe de demain ?"

       " SORTONS DE L'EUROPE POUR UNE BELGIQUE SOUVERAINE "
                 
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                 pour la liste Droits et Libertés au Parlement européen          

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       Le binôme francophone,
       têtes de liste DL
       pour le Parlement européen 
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 Paolo CRISCENZO 
 2ème sur la liste DL à l'Europe
 L
icencié en droit - ULB
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" La souveraineté nationale appartient au peuple.
Elle est inaliénable et ne peut donc permettre l'émergence d'
une Europe fédérale souveraine "  
 

                                          Brigitte BONFIGLIO 
                                                        Tête de liste à l'Europe
                                               Sciences politiques - ULB 
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" Ensemble, pour une Union économique
d'
États souverains "

 "

PROGRAMME DL

Santé

 

La crise sanitaire mondiale liée à la Covid-19 a été le prétexte pour l'OMS et les États de mettre en place un projet de traité international sur la prévention, la préparation, et la riposte aux pandémies impliquant, par ailleurs, des amendements au Règlement sanitaire international de 2005. Ces textes internationaux vont permettre à l'OMS de contrôler les politiques intérieures des États en cas de future pandémie. 

Ce projet d'accord qui doit être finalisé pour 2024, juste après les élections européennes, constitue une atteinte à la souveraineté nationale des États signataires. Ce projet a été proposé, en 2020 par le Président du Conseil européen, Charles MICHEL (MR).

 

En effet, l'article 15 de ce projet prévoit qu'il appartiendra uniquement à l'OMS de déclarer les pandémies mondiales avec toutes les conséquences juridiques et financières que cela implique dans l'ordre interne de chaque État signataire. Les critères objectifs et vérifiables pour déclencher une pandémie mondiale sont particulièrement flous de sorte que les États signataires ne disposent d'aucun contrôle pour s'assurer de la pertinence de la pandémie qui serait déclarée par l'OMS. De plus, l'article 4 de ce projet prévoit, de fait, une atteinte à la souveraineté nationale des États dans le domaine de la santé. Cet article stipule notamment que "le droit souverain des États n'existe que dans la mesure où les activités des États ne nuisent pas à leurs populations, ni aux autres pays". 

 

Dans ce contexte réglementaire, un accord-cadre a été signé entre le Ministre-Président du Gouvernement wallon, Elio Di Rupo (PS) et le Directeur-général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus en vue de développer de nouvelles formes de coopération avec certaines organisations internationales dont l'OMS et ce, notamment pour la question des vaccins dans tous ses ces aspects. 

 

Un autre aspect de la problématique sanitaire dans le cadre de la pandémie covid19 a été l'achat par l'Europe, pour le compte des Etats membres, de vaccins pour un montant de 71 milliards d'euros correspondant à 4,6 milliards de doses de vaccins contre la Covid19 dont 215 millions de doses de vaccin anti covid ont été jetés. Il s'agit du plus gros contrat d'achats de vaccins de l'Union européenne. 

 

La transparence des négociations quant à l'achat de ces vaccins entre la Présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen et les producteurs de vaccins  a été mise à mal. En effet, Ursula von der Leyen a refusé de produire les sms échangés avec les producteurs de vaccins aux parlementaires européens. De plus, il s'est avéré que les vaccins covid19, tels que vantés par nos politiciens n'étaient ni sûrs ni efficaces. En effet, ces injections expérimentales ont entraîné, pour certains, des effets secondaires très graves, pouvant même entraîner la mort. De plus, une représentante de Pfizer a déclaré, au Parlement européen qu'il n'y eut aucun essai clinique pour vérifier si le vaccin pouvait arrêter la transmission du virus en cas de contamination d'une personne vaccinée.  

 

De plus, Big Tech s'invite dans le domaine de la santé. Pour preuve: 32 Etats américains utilisent déjà l'application "Amazon Clinic" et "Amazon Pharmacy"; Il s'agit d'un service E-santé, soit la santé connectée. Cette technologie E-santé sera étendue en Europe. Quid de la protection du secret médical ? pas de point d'interrogation après "quid" L'activité médicale sera-t-elle sous l'emprise des multinationales ? 

 

Enfin, l'Union européenne désire s'arroger d'une compétence exclusive dans le domaine de la biodiversité qui contient notamment le principe "une seule santé". Un accord tripartite a été conclu entre l'OMS, l'Organisation des Nations-Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) pour mettre en oeuvre ce principe en vue de contrer les menaces dans les domaines de la santé humaine, animale, végétale et écosystémique. Par cet accord, les organisations internationales vont pouvoir s'arroger indirectement la compétence de la santé qui, à ce jour, constitue une compétence nationale. 

 

 

Nous soutenons et défendons que tout achat de produits pharmaceutiques par les instances nationales  doit comporter des garanties effectives  de transparence, de sécurité et d'efficacité du produit. De plus, nous exigeons qu'une réglementation soit adoptée en vue de garantir et de mettre en œuvre l'effectivité du principe de précaution notamment dans le domaine de la santé humaine, animale et de l'environnement.

 

La santé doit rester une compétence nationale.

 

 

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